Il est clair qu’à une époque où tout se connecte, le flux d’informations trouvent milles canaux pour circuler. On nous indispose plus par la quantité de choix que la qualité des actualités. Il y a cependant un domaine dans lequel quantité et qualité importent peu, les informations locales. Nul besoin d’une prose soutenue, pas besoin nom plus de ligne éditoriale partisane, c’est du reportage sincère, une description d’un événement réel, avec des acteurs, un lieu. Ce sont les mêmes ingrédients qu’une tragédie grecque, unité de temps, unité de lieu… C’est une forme de journaliste ou le contenu reflète, décrit, raconte un fait. L’information locale trouve ainsi une utilité immédiate, pour les « gens du coin », les locaux. En effet, si le lecteur est un spectateur de l’événement, il y a un sentiment de partage, de cohésion. Si celui-ci connaît le lieu ou une personne du fait, ce sont des nouvelles proches, cela complète une histoire, un temps commun. L’information locale touche par défaut ceux qui sont proches, impliqués, liés…
Ce bulletin pour vous s’inviter à réfléchir sur cette quantité de datas à notre portée, trop, beaucoup et beaucoup trop. C’est toujours sans prétention. Il est discutable de dire qu’il faille hiérarchiser, déterminer des priorités. Avant de subir la mondialisation ou l’hyper connexion, partons pour revoir nos centres d’intérêts. Prenons que le réalisme sociale a du bon, de la compassion. Soyons tous porteurs et partageurs d’informations locales mais avec quelques règles : être sincère et réaliste. Laissons une empreinte légère, elle sera comme un pas sur la une que si nécessaire… nul besoin d’effet.